Recharge 4 munitions OC PIEXON pour JPX6

Le JPX6 PIEXON

Inventé par la société suisse PIEXON c’est un authentique pistolet doté d’une crosse ergonomique texturée, d’un pontet et une queue de détente ainsi qu’un organe de visée ouverte (guidon et hausse fixe) éventuellement complété par un viseur laser.

La différence se situe au niveau des projectiles, ni balles ni plombs, mais un puissant jet de gel irritant d’une portée jusqu’à 7 mètres, non létal mais suffisant pour immobiliser toute menace.

Le JPX6 est une extension de la gamme, portant à 4 au lieu de 2 le nombre de munitions contenues dans son chargeur.

C’est l’idéal pour les professionnels de la sécurité et du maintien de l’ordre tout comme des particuliers soucieux de leur sécurité, notamment artisans, commerçants, responsables de groupe, animateurs de camping, randonnée, chefs d’entreprise qui peuvent ainsi chasser un groupe d’individus ou d’animaux dangereux.

L’agent irritant

Chaque munition contient 10 ml d’un composé d’oléorésine de capsicum (OC) très concentré allié à de la nonivamide, capsaïcine de synthèse, le résultat étant le jet puissant jusqu’à 7 mètres d’un irritant extrêmement virulent provoquant des larmoiements intensifs jusqu’à la cécité temporaire, une toux irrépressible accompagnée de détresse respiratoire et de terribles sensations de brulure cutanée partout où le liquide est au contact de la peau.

L’immobilisation du sujet est immédiate et durable, de 15 à 45 minutes selon l’intensité du jet.

La recharge

Elle se présente sous la forme d’un petit container dont le sommet est équipé d’un organe de visée ouverte avec guidon et hausse fixe. Le socle est muni de deux glissières à emboiter dans le réceptacle du pistolet jusqu’au clic de blocage.

Elle contient 4 tubes représentant chacun une munition. Le pistolet est à répétition, semi-automatique, chaque appui sur la détente déclenchant un tir, le percuteur tourne automatiquement d’une charge à l’autre.

Il n’y a donc rien d’autre à s’occuper que de soigneusement viser en direction du visage de l’assaillant en respectant une distance minimale d’un mètre cinquante pour ne pas risquer de léser ses yeux.